Beaux-Arts Bridés, L’abîme Des Taudis

Les coulisses peinent. Les artistes qui ont pété sans _fléchir ne pourront plus bisser entre deux fêtes. Plus de mimes qui se déchaînent ni de sons pour se délecter: nul ne joue_ra plus du Cui, on délaissera les sax, les flûtes auront peu ri et on ne fera plus mander des batteurs. Plus de passion dans les shows ni de fric en tournée !

LECTEURS: «Mesdames, ouvrez vos salles et osez la vexer, cette Roselyne que Macron repêcha ! Les bis retentiront. Pressez-vous à de belles fêtes !» - «Les piques des vieux truands.» --«Polissons l’écusson.» --«Parler de Covid, c’est usé !» - «Castex: la trace des piques» -«Les colères poussent plein de monde !»

LECTEURS: «Darmanin à la coule.» LU: «Ni réveillons courants ni banquets des fraudeurs. Moins de sept, sinon on vous taxe.» On fustige des fêtes avec des tessons que des soûlards qui ont bon dos auraient brisés étant trop gais, ou tel rustre qu’affole un Covid: il fournit les _bars, écartant des confiotes a_ffinées.