13/02/2018 - Sur l'album de la Comtesse
Dans les hypermarchés où l’on brade même les pintes, côté monnaie pour avoir une pâte, la caissière n’exige qu’un quart pour avoir son dû. Les grosses baisses excitent les foules et se déroulent force bastons : on s’embrase dès que commence la baisse, avant que les gens ne se débinent chargés de pâte…
LECTEURS: «Bacchanale pour un mitron.» — «Ma trompette dans l’écrin.» - Quid des trompettes tachées ? — «Ce Darmanin est une sacrée pile !» —— «Ces abbés se tassent dès qu’ils pêchent.» — «Les crus des côtes du Rhône.» - Les lits avec leurs eaux vives «ont le temps de déborder» ! - L’hydrologue b_osse sur les crues.
LU: «Darmanin _rond.» — «Ces bidasses ont des galoches brisées.» —«Ces bêtes galeries, c’est nos portraits» — «Y a une mite dans ce bac rond !» — «Cet édile de Nantes a le melon.» — «Tarik guette a la taule.» —«Ce viandard exige du pas gras » —«Ce mecton rêve de sacre» — «Votre Castafiore n’est pas nette.»
Commentaires
" VOTRE CASTAfioRE N'EST PAS neTTE. "
Un oubli: "LES liTS AVEC LEURS EAUX viVES."
Il me manquait, Castaner, bien trouvé !
Et le titre, une idée ? Les pintes aussi m'ont mis à sec.
" PertES SignIFIEES ." (en n'étant pas trop exigeant sur la prononciation de signifiées...)
Pour le titre je maîtrise moyennement le mot argot "bader" qui peut vouloir dire "mater"( entre autres sens) . " ON BrADE MËME LES PINT/ES." Sans certitude...
Pour le titre je suis prêt à certifier: les p(ert)es s(ign)ifiées
Pour les pintes je sèche également