13/01/2016 - Sur l'album de la Comtesse
COÛT DES GUEUX ET DES RUSTRES OSÉS
Des migrants, acculés sans pouvoir penser, biaisent sans v_oler et déplorent trop de rustres au sein de leurs potes. Une passante coursée par un gros sale, qui a cessé sans l'abuser et l’a laissée dans un chantier, a pris des baffes de malfrats manquant de pèze et a fini paniquée par la _trouille de flics qui traquaient en ri(y)ant.
LECTEURS : « Vivez deux mille seize sur un balcon. » « Cette élégante rêve de deux mille seize pour être bien bottée. » «Acceptez ces carrosses pour vos fêtes ! » « Valls empile des lacunes. » « Lucas Fouille en quarts. » « Cité d’éphèbes. » — « Zlatan court au but. » LU : « Sentez les fêtes ! » et « Le plan grand froid ».
Un gourmand avide de galettes et tendant vers toute bouffe a agrippé une bonne hôtesse et goûté sa bouffe, bouffe qui avait besoin de thym. -« Je ne veux pas voir braver le foot_ ! » Pas trop logique, Blatter, quand il parlait de foot_. L'assureuse cassée et fielleuse gonfle les malus. Les Cajuns adorent les braves.
Commentaires
Une (pass)ante (cour)sée par un gros sale, .. est passée à travers les mailles de votre filet
Dans cette opération, un son "s" disparait. La solution de M. Sergio, qui nous serait bien utile parfois, ne me convainc pas:
Une passante c[our]sée par un gros s[ale]
L'oreille du Vicomte n'est pas heurtée à l'écoute de la solution qu'il a passée : les s s'ajoutent ?
Certes, on peut considérer que les sons "s" s'ajoutent, mais je reste dubitatif ...